vendredi 2 mars 2012

Projet expo collective

Les échéances approchent,
nous sommes pour l'instant parti sur ce visuel format A5, sur carte 250gr.
Le titre de l'expo serait:

"La Politique de l'espace"
ou
"Nul n'entre ici s'il n'est géomètre"


Nous attendons avec impatience que vous usiez et abusiez de la fonction "commentaires" ci dessous
(Questions, réactions, propositions, approbations, félicitations, mauvais esprit etc.)

Bien à vous

Marie/Lore de Pore/Rémy


jeudi 1 mars 2012

CINEMA/CINEMA


« Une scénographie ne copie pas une forme du réel, elle a une valeur autant métaphorique que visuelle. Cette métaphore possède parfois ses propres règles, miroir exact ou image inversée dans les cas les plus extrêmes de ce qu'elle illustre, elle peut amener un surplus de sens (redondance ou hyperthéâtralité), en tout cas ouvre les possibilités de réception sensible de la pièce et les multiplie. » 

(merci wiki)

Monde d'illusion, le cinéma nous montre des choses irréelles, inventées. Alors, pourquoi ne pas reprendre ces éléments du « décor », des accessoires de la Projection Room.

Notre travail commencera par une recherche d'éléments et d'objets du lieu qui ont servi autrefois et utilisés actuellement, mélangés à leurs faux-jumeaux, re-créés dans des matières différentes et ré-introduits dans l'espace, laissant ainsi le spectateur dans le doute. De l'ordre de la maquette, l'histoire du lieu serait finalement modifiée par notre intervention plastique.



CINEMAAAAA CINEMAAAAAAA





Pierre
Antonin
Pauline
Charlotte



mardi 28 février 2012

Il faut battre le fer tant qu'il est chaud

Le projet de Loré,Clara,Melike,Rémy,Marie est sur vos boîtes mails..désolé,je ne sais pas publier de pdf sur le blog( et je ne pourrais pas venir cette après-midi)
je poste bientôt des essais de mise en page pour l'autocollant+ l'affiche en lien avec la boîte du multiple

Bien à vous
Marie

lundi 27 février 2012

Il faut battre les morts quand ils sont froids


Sur base de divers films sujets à l’inspiration de chacuns, retraçant l’histoire du cinéma, l’idée principale est de recréer une vidéo avec ces diverses inspirations, tantot au niveau du fond, tantot au niveau de la forme.
Il est donc question ici d’abandonner l’idée principale sur laquelle nous étions partis, qui était de recréer une atmosphère sensorielle sur base de ces films par la manipulation directe, visuelle et sonore de ceux-ci, pour miser sur l’image et sa composition de façon qu’elle fonctionne de manière autonome.
Nous avons donc choisit divers films, films dans lesquels nous avons retenus plus particulièrement une (ou parfois plusieurs) scène(s) que nous allons retravailler dans son décors, sa composition esthétique, par le biais de la symbolique, sans en garder sa forme pure, mais en travaillant sur la thématique même du film.
Comme ce n’est non seulement par l’image mais également par le son que l’on “reconnait” un film, et que celui-ci se construit, le son aura dans cette vidéo un rôle important, mais dans ce cas-ci, laissé à l’authentique. Car celui-ci sera repris tel quel, servant (entre autre) de lien et de repère à la reconnaissance des morceaux et des films auquels nous feront référence.

Liste (non définitive) des films retenus:
-       Le voyage dans la lune, Georges Méliès
-       L’assassinat du Duc de Guise, “Le film d’art”
-       Fantomas, Louis Feuillade
-       Sept ans de malheur, Max Linder
-       Naissance d’une nation, Griffith
-       Le cuirassé potemkine, Eisenstein
-       Métropolis, Fritz Lang
-       Le cabinet du docteur Caligari, R. Wiene
-       Nosferatu, Murnau
-       L’inhumaine, M. L’Herbier (avec Fernand Leger)
-       Ballet mécanique, Fernand Léger
-       La marche des machines, Eugène Deslaw
-       L’étoile de mer, Man Ray
-       La coquille et le Clergyman, Germaine Dulac
-       Le chanteur de Jazz, Alan Crosland
-       L’Atalante, Jean Vigo
-       La grande illusion, Sacha Guitry
-       Nuit et brouillard, Alain Resnais
-       Vertigo, Hitchcock
-       Citizen kane, Orson Welles
-       Casablanca, Michael Curtiz
-       Ossessione, Luchino Visconti
-       Paisa, Roberto Rossellini
-       Orphée, Cocteau
-       A bout de souffle, Godard
-       Emmanuelle, Just Jaeckin
-       Kiss, Warhol
-       Accattone, Pasollini
-       Repulsion, Polanski
 Groupe: Sophie, Cédric, Dalia

Orphée
Fantomas
Assassinat du duc de Guise


 














Fantomas

Fantomas 

Ballet mécanique

La coquille et le clergyman

La marche des machines

Le sang d'un poète

L'étoile de mer

L'étoile de mer

L'inhumaine

Sept ans de malheur

Métropolis

Metropolis

Naissance d'une nation

Nosferatu

Le voyage dans la lune

Le voyage dans la lune

Caligari

Caligari


là, nous avons une réunion de différents atomes qui s'attirent, se manifestent, s'éloignent, se cassent, se collent.... sans le vouloir vraiment, tous  se forment en une molécule (utilisable ou pas). 

Projection(room)
AAF RVB 255 | 255 | 255 Psd
Les codes et les déclenchements sont omniprésent dans notre activité quotidienne. De façon
mécanique ou naturel, nous actionnons une série d'éléments perturbateurs mettant à l'épreuve nos
émotions et sensations. La redéfinition d'un espace sensoriel par le biais de l'architecture sonore et
lumineuse.
La création d'un espace modifié et perturbé par un phénomène déclencheur.
Le titre n'est autre que une ré-écriture de code d'enregistrement d'un fichier sur un
ordinateur. AAF qui représenterait le type d'enregistrement audio, RVB pour répresenter une
couleur et Psd un format d'image. Pourquoi utiliser ce titre ? Tout simplement, car ces trois éléments
seraient présents dans le lieux d'exposition. Comme nous travaillons (notre groupe) sur l'idée du
facteur sensoriel, nous comptions y développer tant des pièces sonores que lumieuses.
Pour le visuel, nous avons longuement réfléchi et avons abouti sur le fait que le code était
omniprésent tout au long de notre proposition (idée d'expo). Et le plus évident mais qui par la même
occasion reste en quelque sorte flou pour certain, était de reprendre les mêmes valeurs de couleurs,
de mise en place, et la typo du codec développé dans le logiciel « Processing ».
Voici un exemple si dessous d'un codec processing
Les mots écrient en couleur représentes une relation à une action effectuée.
Quelques idées d'installations :
-travailler avec le vis à vis du voisinage. A l'aide de projection nous aurions bien vu une projection
de l'activité interne à l'expo sur le bâtiment d'en face.
Pour se faire, nous avons développé un genre de générateur d'image (appareil photo divisé en une
grille de « pixel ») qui se déclencherait simultanément et qui serait projeter sur la façade externe.
Une allitération de l'image s'y effectuerait. A l'intérieur serait disposé sur un pied un appareil photo
qui à un moment (inconnu par le spectateur) se déclencherait.
Nous avions pensé à imprimer le résultat obtenu afin de réaliser une séries d'images propres à
l'exposition et aux spectateurs présents au moment du fait.
– une deuxième étant celle de la pièce lumineuse qui varierait par rapport à l'intensité des
décibels présents et du nombre de spectateur.
Groupe: Jeanne, Lisa, Miguel, Guillaume, Jonathan